Recommandations d’application du spectre visible de lumière.
L’histoire de la médecine est riche de visions et de théories ainsi que de vérités anciennes fondées sur les observations de la nature humaine. Ainsi l’air et la lumière ont toujours constitué les éléments nécessaires à un corps et un esprit sains. Ils ont toujours participé au bien-être physique et psychologique, symbole éternel de l’Antiquité. Chez les Romains et chez les Grecs, l’utilisation des rayons du soleil faisait partie des habitudes populaires. Hypocrate décrivait la prise de bains de soleil à des fins diététiques et hygiéniques. Quant à Hérodote, il expliquait les vertus thérapeutiques de ces derniers. La lumière du soleil était utilisée pour traiter non seulement les lésions locales de l’épiderme mais également celles liées aux maladies internes.
Aurélien, en 525 av JC, conseillait déjà le traitement par la lumière de la chachexie, de l’obésité généralisée, de l’arthrite, de l’hydropisie, des maladies de l’utérus et des maladies chroniques de la vessie. Les coliques, l’atrophie, l’anomalie constitutionnelle infantile faisaient également déjà partie du domaine d’application du traitement par la lumière.
Les bains de soleil pour le traitement des maladies du système nerveux, la paralysie, l’hypochondrie, l'hystérie et même l'épilepsie occupaient une place toute particulière. La lumière du soleil était appliquée non seulement sur toute la surface du corps mais également de manière locale. Les traditions de la Rome antique, comme le fait de s’exposer au soleil après le repas, sont restées présentes dans les vallées des Alpes italiennes. À Tessina, grâce à cette tradition, les gens atteignent des âges très avancés. D’où leur dicton : « Là où est le soleil, le docteur n’est pas. »
Au 18ème siècle, les scientifiques et physiologistes Edwards et Moleschott, grâce à toute une série d’expériences scientifiques, avaient prouvé l’influence bénéfique de la lumière sur le métabolisme des animaux. Edwards avait constaté que l'embryon de grenouille ne pouvait se développer normalement dans l'obscurité. Moleschott, quant à lui, avait déterminé grâce à plusieurs expériences, qu'en éclairant le corps de la grenouille, l’émission d’acide carbonique était 3 fois supérieure à celle constatée en obscurité. L'émission d’acide carbonique augmentait à mesure que la luminosité était accentuée. Or, nous savons que l’acide carbonique est responsable des échanges nutritifs (distribution des protéines, des lipides, des glucides et du glucose. De plus, le spectre visible de la lumière solaire (de 390 à 750 nm) n’entraîne aucun effet secondaire sur l’organisme de l’être humain à la différence des préparations médicamenteuses, notamment les antibiotiques. La lumière solaire, en l’absence de nuages, distribue les rayons ultraviolets (de 0,1 à 390 nm.) - 10%; spectre visible (de 390 à 750 nm.) - 40%; rayons infrarouges (de 750 à 10 000 nm.) - 50%.
Le spectre visible de la lumière produit une action importante sur le métabolisme végétal : le chlorophylle. La chlorophylle disparaît dans l’obscurité. En l'absence de lumière, seuls les champignons et les microorganismes se développent. L’action du spectre visible de lumière solaire sur la faune et la flore a débuté avec l’apparition de la première molécule et continue toujours aujourd’hui. Les échanges nutritifs, la synthèse de molécules, le recyclage des produits issus de l’activité cellulaire s’effectue grâce au spectre visible de la lumière, doté également de propriétés bactéricides. Downes et Blunt sont les premiers en 1877 à prouver que la lumière solaire est capable de tuer les bactéries ou d’en réduire le développement. Au 20ème siècle, des scientifiques ont confirmé, grâce à des expériences, que même dans le spectre d’une couleur déterminée, mais avec différentes longueurs d’onde, les actions sur la cellule vivante diffèrent dans la mesure où les molécules présentes dans la cellule, les photosensibilisateurs absorbent un quantum d’une longueur d'onde déterminée. (440 nm pour la porphyrine du sang, 450 nm pour les flavines nucléotides, 460 pour la bilirubine). Voici les principes sur lesquels se basent les produits de photothérapie « AVERS », notamment la biolampe « AVERS-Sun » qui devient un petit soleil chez vous, au travail ou dans votre centre de soins.
Ce qui en passant ne sert pas les intérêts des méthodes et moyens thérapeutiques utilisés à ce jour. L’historien de la médecine, I. Petersen dans son travail « Moments-clés dans le développement historique de la thérapie » explique que le système de traitement de l’Écossais Brown a coûté la vie à bien plus de personnes que toute la Révolution française. C’est justement « ce système de traitement » qui fut officiellement accepté à la fin du 18ème siècle dans presque tous les hôpitaux européens. La médecine curative a complètement supplanté la médecine préventive et avec le développement de l’industrie pharmaceutique, les médecins ont accentué «le culte du malade».
Le malade est devenu la source de profit de toute une pléiade de diagnosticiens, chirurgiens, pharmaciens ainsi que de leurs assistants. Les faux diagnostics accompagnés d’un traitement à l’aide de médicaments onéreux sont devenue monnaie courante. Sans compter que ces médicaments possèdent toute une série d'effets secondaires et qu'ils sont parfois issus de la contrefaçon. Cette dernière a même pris des dimensions nationales. Dans le meilleur des cas, les pharmacies mettent en vente des médicaments composés de craie, dans le pire des cas, ces derniers contiennent des substances périmées et non nettoyées. Lorsque le patient se voit attribué une nouvelle maladie, un nouveau traitement lui est prescrit, et ainsi de suite. C’est la raison pour laquelle les médecins ne relâchent pas leurs patients ; quels que soient leurs actes ou paroles, la maladie des patients est leur revenu, légal ou illégal. Dans un État sage, la médecine préventive sera de nouveau pratiquée et prendra le dessus sur la médecine curative. En effet, l’air, la lumière, la chaleur, les mouvements physiques suscitent des actes physiologiques positifs et ils sont les seuls à pouvoir prévenir la maladie. La lumière et l’eau étaient et resteront, pour l’être humain et toute la faune, les éléments de traitement les plus proches. Ce qui maintient la vie peut également guérir la maladie!
Produits
Matrice à faisceaux monochromatiques de spectre visible de couleur bleue pour souris d’ordinateur "AVERS-STREAM" ÒÓ 6342-001-58668926-2011
L’histoire de la médecine est riche de visions et de théories ainsi que de vérités anciennes fondées sur les observations de la nature humaine. Ainsi l’air et la lumière ont toujours constitué les éléments nécessaires à un corps et un esprit sains. Ils ont toujours participé au bien-être physique et psychologique, symbole éternel de l’Antiquité. Chez les Romains et chez les Grecs, l’utilisation des rayons du soleil faisait partie des habitudes populaires. Hypocrate décrivait la prise de bains de soleil à des fins diététiques et hygiéniques. Quant à Hérodote, il expliquait les vertus thérapeutiques de ces derniers. La lumière du soleil était utilisée pour traiter non seulement les lésions locales de l’épiderme mais également celles liées aux maladies internes. 
Les bains de soleil pour le traitement des maladies du système nerveux, la paralysie, l’hypochondrie, l'hystérie et même l'épilepsie occupaient une place toute particulière. La lumière du soleil était appliquée non seulement sur toute la surface du corps mais également de manière locale. Les traditions de la Rome antique, comme le fait de s’exposer au soleil après le repas, sont restées présentes dans les vallées des Alpes italiennes. À Tessina, grâce à cette tradition, les gens atteignent des âges très avancés. D’où leur dicton : « Là où est le soleil, le docteur n’est pas. » 
Le spectre visible de la lumière produit une action importante sur le métabolisme végétal : le chlorophylle. La chlorophylle disparaît dans l’obscurité. En l'absence de lumière, seuls les champignons et les microorganismes se développent. L’action du spectre visible de lumière solaire sur la faune et la flore a débuté avec l’apparition de la première molécule et continue toujours aujourd’hui. Les échanges nutritifs, la synthèse de molécules, le recyclage des produits issus de l’activité cellulaire s’effectue grâce au spectre visible de la lumière, doté également de propriétés bactéricides. Downes et Blunt sont les premiers en 1877 à prouver que la lumière solaire est capable de tuer les bactéries ou d’en réduire le développement. Au 20ème siècle, des scientifiques ont confirmé, grâce à des expériences, que même dans le spectre d’une couleur déterminée, mais avec différentes longueurs d’onde, les actions sur la cellule vivante diffèrent dans la mesure où les molécules présentes dans la cellule, les photosensibilisateurs absorbent un quantum d’une longueur d'onde déterminée. (440 nm pour la porphyrine du sang, 450 nm pour les flavines nucléotides, 460 pour la bilirubine). Voici les principes sur lesquels se basent les produits de photothérapie « AVERS », notamment la biolampe « AVERS-Sun » qui devient un petit soleil chez vous, au travail ou dans votre centre de soins. 
Le malade est devenu la source de profit de toute une pléiade de diagnosticiens, chirurgiens, pharmaciens ainsi que de leurs assistants. Les faux diagnostics accompagnés d’un traitement à l’aide de médicaments onéreux sont devenue monnaie courante. Sans compter que ces médicaments possèdent toute une série d'effets secondaires et qu'ils sont parfois issus de la contrefaçon. Cette dernière a même pris des dimensions nationales. Dans le meilleur des cas, les pharmacies mettent en vente des médicaments composés de craie, dans le pire des cas, ces derniers contiennent des substances périmées et non nettoyées. Lorsque le patient se voit attribué une nouvelle maladie, un nouveau traitement lui est prescrit, et ainsi de suite. C’est la raison pour laquelle les médecins ne relâchent pas leurs patients ; quels que soient leurs actes ou paroles, la maladie des patients est leur revenu, légal ou illégal. Dans un État sage, la médecine préventive sera de nouveau pratiquée et prendra le dessus sur la médecine curative. En effet, l’air, la lumière, la chaleur, les mouvements physiques suscitent des actes physiologiques positifs et ils sont les seuls à pouvoir prévenir la maladie. La lumière et l’eau étaient et resteront, pour l’être humain et toute la faune, les éléments de traitement les plus proches. Ce qui maintient la vie peut également guérir la maladie!
